Secteur d’assurance : les enseignants de Diawala s’orientent vers les bons produits

18-6-2023 (AfrikMonde.com) Il a su captiver l’attention des enseignants par la maîtrise du sujet. Mah Judicaël, ancien agent d’assurance et professeur de lettres modernes au Lycée moderne de Diawala a permis aux enseignants et aux membres de l’administration dudit établissement de bénéficier d’éclairage en matière d’assurance, afin d’éviter les pièges lors des souscriptions.

Ainsi, le samedi 17 juin 2023, à l’occasion d’une conférence de presse à la salle de fête du Lycée, Mah Judicaël a instruit son public sur le choix des bons produits d’assurance et comment éviter les pièges lors des souscriptions. ‘’Le fonctionnaire à l’épreuve des assurances : états des lieux et perspectives’’, est le thème à partir duquel le conférencier a instruit ses collègues.

Après avoir défini une assurance comme « un contrat dans lequel le souscripteur garantit soit son bien soit sa personne pour qu’en retour, lorsqu’il y a sinistre, l’assurance puisse prendre en compte les clauses liées à son contrat d’assurance », il a expliqué ce qui justifie sa démarche du jour.

« La première motivation est que la plupart des collègues enseignants sont de potentiels souscripteurs aux produits d’assurance. Mais, qui malheureusement ne maîtrisent pas tous les contours attachés à un produit d’assurance. Cette motivation était de montrer à ces enseignants quels sont les différents produits d’assurance qu’il faut privilégier lors d’une souscription. Egalement, les compagnies d’assurance vers lesquelles il faut s’orienter et quels sont les gestes à ne pas faire, les conduites à ne pas encourager lorsqu’on souscrit à un produit d’assurance », a-t-il révélé.

Puis, d’indiquer les types d’assurance et leurs contenus : « Parce qu’en termes d’assurance, il y a ce qu’on appelle les contrats à fonds perdus et les contrats à fonds d’épargne. Lorsqu’on sera plutôt porté vers les contrats à fonds d’épargne, au terme du contrat d’assurance, l’on en bénéficie. Il y a un capital qui est là pour un projet ou pour une autre réalisation. Lorsque c’est à fonds perdus, au terme du contrat, le souscripteur s’en sort sans gain ».

A l’issue des échanges qui ont marqué cette conférence,  Mah Judicaël a dit sa satisfaction. « Je suis très satisfait dans la mesure où tous ceux qui avaient des préoccupations ont eu à les exposer et les réponses ont été données. Le message de notre communication est véritablement passé. Il était question de leur donner tout ce qu’il faut comme astuces afin de pouvoir souscrire à un produit d’assurance ». La conférence  a tenu toutes ses promesses à travers la mobilisation et la qualité des débats.

MC, correspondant

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